Le SaaS sera à l'honneur lors de la première Cloud Week Paris, et ce pas seulement lors du dîner du Cercle des Editeurs du lundi 6 juillet.En attendant, voici la remise en lumière d'un des meilleurs articles de la série #SaaSDiscute (article publié initialement le 25 novembre 2014)
Comment choisir une solution SaaS?
Voyons les caractéristiques d'une bonne solution SaaS, les points de vigilance et les critères de choix d'un éditeur SaaS au travers de 6 extraits de tables rondes qui ont réuni éditeurs SaaS et clients "métiers" (RH, Marketing...).
Retrouvez, animés par Frédéric Bascuñana (Webcastory) et moi-même:
- Rupert Schiessl, Directeur des Produits de Verteego et sa cliente Séverine de Paepe, responsable RH de Randstad Inhouse Services.
- Pierre Henri Amalric, PDG de XPERTeam et Delphine Alain, consultante en externalisation RH.
- Gilles Satge, PDG de Lucca et son client Yvan Aussenac, HR Director de Withings.
- Frédéric Dumas, Directeur Commercial de Vocus Datapresse et sa cliente Luisa Maschio, responsable de la Communication de l'ESSEC
1. The Real Thing ou SaaS Canada Dry?
Récemment, l'un des gros éditeurs de logiciels partenaire d'Aspaway a vu sa proposition rejetée par un prospect au prétexte que son logiciel n'était pas vraiment du SaaS.Comme la plupart des offres sur le marché français, le logiciel applicatif proposé par ce grand éditeur est généralement:
- installé "on premise", c'est à dire chez le client ou, de plus un plus chez un hébergeur tiers
- facturé en "mode licence + maintenance"
- personnalisé pour le client.
- hébergé sur des infrastructures cloud (c'est mieux) dédiées et/ou mutualisées
- infogéré par un prestataire tel qu'Aspaway
- facturé mensuellement et/ou à l'usage, avec plus ou moins d'engagement dans la durée, et en intégrant les infrastructures sous-jacentes.
Encore faut-il être conscient des inconvénients d'un tel choix comparés aux charmes grandissants des SaaS pur jus, tels qu'exprimés par nos panelistes #SaaSDiscute dont ici Rupert et Séverine:
2. Qui trop embrasse mal étreint - A chacun son métier!
Même s'il reste des éditeurs qui affirment le contraire, voici le critère de choix que je trouve le plus important : Spécialisation + Intégration.a) Spécialisation et focalisation sur son coeur de métier, en
- devenant de plus en plus "profond" sur des couvertures fonctionnelles précises,
- mutualisant les bonnes pratiques de ses clients,
- associant au logiciel la fourniture de données et de services business,
- sous-traitant (entre autres) les infrastructures et l'infogérance "sous le capot" à d'autres experts...
Voici d'ailleurs ce qu'en pensent nos panelistes (et moi):
3. Service (Business) as a Service plutôt que Software!
En plus d'une solution SaaS (plutôt native) et d'un éditeur focalisé, il est bon que ce dernier apporte de véritables résultats business aux utilisateurs, et ce au travers, non pas simplement d'un logiciel (fut il "as a service") mais plutôt d'un service (délivré "as a service", bien sûr!).Ce troisième point est exprimé par plusieurs intervenants de SaaSDiscute dont Pierre-Henri et moi.
Les services d'un éditeur SaaS
En complément, je vous suggère également un autre article de la série #SaaSDiscute qui reprend les 3 services de bases d'un logiciel SaaS et de son éditeur.RV à la Cloud Week Paris !
En ce début d'été, et pour marquer l'importance de la Cloud Week, j'ai entrepris de "revisiter" et de republier certains articles postés sur le blog Aspaway, voire sur "mes" autres blogs qui datent de ma période évangélisme Cloud auprès de l'Ecosystème des partenaires IBM : Club Alliances, Forum SaaS & Cloud, Club Cloud des Partenaires...
IBM Business Development, Aspaway
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